La déclaration de naissance doit être réalisée dans les 5 jours qui suivent l’accouchement (non compris le jour de l’accouchement) à la mairie du lieu de naissance.
Déclaration de naissance
La naissance peut être déclarée par le père, ou sinon, par le médecin, la sage-femme ou une personne ayant assisté à l’accouchement.
Liste des pièces à fournir :
Pièce d’identité de la personne déclarante
Constatation de naissance délivrée par un médecin
Imprimé du choix des prénoms de l’enfant signé des deux parents
Pour le premier enfant uniquement : l’imprimé du choix du nom de famille de l’enfant signé des deux parents ainsi que pour les parents nés à partir du 1er/09/1990 qui portent un double nom, leur acte de naissance
Le livret de famille (s’il y a lieu)
Publication de naissance dans la gazette de Bougival
Faites part de cet heureux évènement dans le magazine municipal de la Ville en complétant le formulaire ci-dessous.
Autres démarches
Reconnaissance
La reconnaissance avant naissance et après naissance s’effectue dans n’importe quelle mairie (généralement soit à la mairie du lieu de naissance de l’enfant soit à la mairie du lieu de domicile du ou des parents). La reconnaissance peut également être effectuée au moment de la déclaration de naissance à la mairie du lieu de naissance.
Pour tout acte de reconnaissance, il est obligatoire de présenter une pièce d’identité avec photo et un justificatif de domicile de moins de 3 mois.
Parrainage civil
Le parrainage civil est une cérémonie de valeur symboliqueissue d’une démarche volontaire des parents. Il est effectué par la mairie du lieu de domicile des parents. Le parrainage civil n’est prévu par aucun texte législatif et n’a aucune valeur légale. Ainsi, l’engagement que prennent les parrains et marraines de suppléer les parents en cas de défaillance ou de disparition n’a qu’une valeur morale.
La demande est à formuler au service de l’état civil, deux mois au moins avant la date désirée pour la cérémonie.
Vérifié le 26/03/2020 – Direction de l’information légale et administrative (Première ministre)
La voiture qui a subi un accident grave doit être expertisée avant réparation ou remise en circulation. L’expert peut la déclarer réparable, non réparable ou dangereuse. Le véhicule est déclaré non réparable si la réparation est trop chère ou impossible. Il est déclaré dangereux s’il n’est plus en état de circuler en sécurité. Lorsque le véhicule est déclaré non réparable ou dangereux, l’assureur doit faire une offre de rachat dans les 15 jours suivant la remise du rapport d’expertise.
La compagnie d’assurance chargée de votre indemnisation vous propose généralement de faire réaliser une expertise.
Elle mandate un de ses experts, qui sera chargé des missions suivantes :
Identifier la voiture, constater les dommages et contrôler leur vraisemblance avec les circonstances déclarées de l’accident
Déterminer le ou les point(s) de choc
Établir les possibilités de réparation (techniquement et économiquement)
Valider le prix des réparations facturé par le garagiste
Définir un éventuel taux de vétusté (sur les pneus ou le radiateur par exemple)
Calculer la valeur de remplacement à dire d’expert (Vrade) du véhicule
Indiquer si le véhicule peut encore circuler dans les conditions normales de sécurité.
Le rapport d’expertise, habituellement établi sous 8 à 12 jours calendaires, vous sera adressé, de même qu’à l’assureur.
Si vous souhaitez contester les conclusions de l’expert, vous pouvez commander une contre-expertise, mais vous devrez régler les honoraires de cet expert.
Si le véhicule accidenté est considéré réparable par l’expert désigné par assurance, les travaux de réparation peuvent être réalisés.
Le rapport d’expertise établi suite à l’accident peut montrer que les travaux nécessaires à la remise en état du véhicule représentent un montant supérieur à sa valeur vénale au moment du sinistre. Il est alors considéré comme économiquement non réparable).
Le rapport d’expertise peut aussi montrer qu’il est impossible de réparer le véhicule, qui sera alors déclaré techniquement non réparable.
Dans ces 2 cas, l’assureur doit proposer une offre de rachat du véhicule dans les 15 jours suivant la remise du rapport d’expertise. Le propriétaire du véhicule doit donner sa réponse dans les 30 jours.
S’il accepte la proposition, le propriétaire doit compléter le formulaire de certificat de cession du véhicule au nom de l’assureur. Il doit lui envoyer le formulaire accompagné de la carte grise ou de l’avis de retrait la carte grise, lorsque la dangerosité du véhicule a été constatée par un agent ou officier de police judiciaire. L’assurance lui paiera le prix mentionné dans l’offre.
Formulaire Certificat de cession d’un véhicule d’occasion
L’assureur doit avertir l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), qui bloque tout transfert de la carte grise. Ce blocage empêche la cession du véhicule à un particulier, mais la cession à un acheteur professionnel reste possible. Ce dernier pourra réparer la voiture ou détruire la carcasse après avoir récupéré les pièces détachées.
Pour obtenir la levée du blocage des transferts de la carte grise, le propriétaire doit commander une nouvelle expertise du véhicule, à ses frais. L’ANTS pourra autoriser les transferts et la remise en circulation du véhicule si :
si le nouveau rapport d’expertise certifie que les travaux touchant à la sécurité ont été effectués par un professionnel
et que le véhicule peut circuler en toute sécurité.
Si l’expert constate que le véhicule n’est plus en état de circuler dans les conditions normales de sécurité, il doit le déclarer dangereux. L’expert doit informer l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) de cette situation. L’ANTS doit à son tour signaler au propriétaire du véhicule par courrier recommandé (avec accusé de réception) que son véhicule n’est plus autorisé à circuler. Le courrier doit également lui indiquer qu’il ne peut plus vendre le véhicule, ni le donner, sauf si c’est à un démolisseur agréé.
L’assureur doit proposer une offre de rachat du véhicule dans les 15 jours suivant la réception du rapport d’expertise.
Si le propriétaire accepte cette offre, l’assureur se chargera des formalités de destruction du véhicule.
Si le propriétaire refuse la proposition de l’assurance, il conserve son véhicule, mais ne pourra le vendre (ou le donner) qu’à un démolisseur pour destruction.